Séminaire “à quoi sert ?” la magnétométrie (SQUID) et la Résonance Paramagnétique Électronique (RPE)

  • Catégorie : Séminaire
  • Dates : 21 mars 2024
  • Horaires : De 10h à 11h
  • Lieu : Campus CNRS, amphithéâtre Balard Recherche - 1919 Route de Mende, Montpellier

Venez découvrir la magnétométrie (SQUID) et la Résonance Paramagnétique Électronique (RPE).

Le magnétomètre MPMS3 de dernière génération de la marque Quantum Design acquis en 2021 est équipé d’un dispositif “squid” permettant de mesurer les plus fines variations de flux magnétiques générés par l’échantillon. Il permet de déterminer des propriétés magnétiques à différentes températures (de 1.8 à 400 Kelvin) et différents champs magnétiques (de -7 à 7 Tesla). Ses différentes options permettent de réaliser des études sur le temps de relaxation magnétique (mode AC), l’angle d’aimantation (moteur rotatif), et même sous irradiation lumineuse (fibre optique).

La RPE est plus adaptée à l’études de composés paramagnétiques possédant un ou plusieurs électrons non appariés et en particulier à l’étude de radicaux organiques générés de diverses manières (chauffage, irradiation, intermédiaire réactionnel…)

A propos des intervenants :

Partie technique :

Corine REIBEL ingénieur de recherche UM et Gautier FELIX chargé de recherche au CNRS sont tous deux respectivement responsable et animateur scientifique du service “Magnétométrie et RPE” comprenant deux magnétomètres Squid et un spectromètre RPE en Bande X et qui intègrent des dispositifs de vide, de thermométrie et de cryogénie. Corine REIBEL sera votre interlocutrice pour tous renseignements et demandes de mesures.

Exemples de projet scientifique :

Farah ABDEL-SATER est doctorante en première année de thèse sous la direction de Joulia LARIONOVA et la supervision de Gautier FELIX au sein du département D1 de l’ICGM. Sa thèse porte sur le relargage de radicaux libres par activation thermique à l’échelle nanométrique en utilisant des nanoplateformes magnétiques.

Fatiha AZROUR est doctorante en troisième année de thèse sous la direction de Jérôme Rouquette et Mickael Beaudhuin au sein du département D4 de l’ICGM. Sa thèse porte sur l’étude de différentes propriétés, notamment magnétiques, de plusieurs composés de Lanthanides à l’état cristallin.

Joshua VAULOUP est un doctorant de troisième dans le cadre d’une collaboration entre les départements D2 et D4 de l’ICGM. Il travaille avec Laure Monconduit, Moulay Sougrati et Lorenzo Steviano. L’un de ses sujets porte sur le recyclage de métaux stratégiques des batteries lithium-ions. Il étudie une voie de réduction du cobalt sous sa forme métallique par mécanochimie afin d’extraire sélectivement cet élément par magnétisme. Il utilise le magnétomètre SQUID afin de quantifier la réduction du cobalt.

Accès au campus avec un QR code (demande de création de code à envoyer par courriel). Pour toute demande d’information, contacter le pole chimie.

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