Street Science : l’exposition « plus verte la Ville » au Jardin des Plantes toujours prête à être découverte !

Depuis le 24 mai dernier, l’Université de Montpellier invite grands et petits à partir à la découverte de l’exposition Street science, plus verte la Ville ! une nouvelle balade scientifique en réalité augmentée installée au cœur du Jardin des plantes de Montpellier.

Une exposition à l’objectif bien précis

Cette déambulation scientifique s’attelle à un enjeu crucial de notre époque : la végétalisation de la ville. Elle invite à la découverte des bénéfices d’une ville plus verte pour le bien-être, la santé, la biodiversité urbaine, la lutte contre les ilots de chaleurs, la gestion de l’eau ou encore l’agriculture urbaine. Elle amène également à réfléchir aux choix qui doivent être faits dans les essences utilisées afin qu’une ville plus verte ne soit pas une ville ou les allergies et des maladies infectieuses vectorielles soient plus fréquentes.

Pour cette occasion, Mathieu Sicard, professeur des universités à l’UM, sera disponible jusqu’au 3 août afin d’accueillir et de faire découvrir l’exposition à la presse. Pour cela, il est possible de lui adresser un mail.

Un itinéraire scientifique plein de surprises !

Cet itinéraire scientifique permet à tous les publics de :

• Découvrir ou redécouvrir le jardin des plantes de Montpellier,
• Jouer en cherchant les 12 panneaux qui vont révéler leurs secrets en réalité augmentée à l’aide d’un smartphone et de l’application gratuite Street science,
• Apprendre sur les enjeux de la végétalisation des villes : pourquoi est-ce important de construire une ville plus verte pour demain ? Quels sont les points de vigilance à prendre en compte lorsque l’on verdit une ville ?

L’application mobile Street Science propose des jeux de pistes urbains en réalité augmentée, pour découvrir et apprendre de manière ludique. L’ensemble des contenus scientifique de Street science, plus verte la ville ! a été conçu par des chercheurs de la KIM RIVE (Risks & Vectors) dans le cadre de son approche « une seule santé » centrée sur la gestion durable du risque vectoriel et de son enjeu pour la santé de l’Homme et de son environnement.