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L'Association Santé-Science Rabelais est composée d'étudiants du double cursus Santé-Sciences précoce Rabelais, c'est-à-dire d'étudiants en filière de santé (pharmacie, médecine, odontologie) qui suivent une formation de sciences en parallèle. objectifs et activités Animer la vie étudiante du Double Cursus Rabelais Faire la promotion de la recherche scientifique en santé (évènements scientifiques divers) Organiser des séances de tutorat pour aider les étudiants en santé souhaitant intégrer le Double Cursus Rabelais. Instagram Courriel

Le 3 février 2025, les membres du Conseil d'Administration ont approuvé la charte de l’Université de Montpellier relative à la liberté académique. Préambule : Principes fondamentaux1 La liberté d’expression est protégée, de manière générale, par les articles 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, 10 de la Convention Européenne Des droits de l’Homme, 11 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne et 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948. La liberté d’expression est également protégée, de manière spéciale, pour les enseignants-chercheurs, enseignants et chercheurs. Elle découle de la liberté académique, garantie d’indépendance, au cœur des fonctions des enseignants-chercheurs, enseignants et chercheurs, en vertu des articles L.952-2 du code de l’éducation et L.411-1 du code de la recherche. Aux termes de l’article L.952-2 du code de l’éducation, « les enseignants-chercheurs, les enseignants et les chercheurs jouissent d'une pleine indépendance et d'une entière liberté d'expression dans l'exercice de leurs fonctions d'enseignement et de leurs activités de recherche, sous les réserves que leur imposent, conformément aux traditions universitaires et aux dispositions du présent code, les principes de tolérance et d'objectivité. Les libertés académiques sont le gage de l'excellence de l'enseignement supérieur et de la recherche français. Elles s'exercent conformément au principe à caractère constitutionnel d'indépendance des enseignants-chercheurs. » La liberté académique est qualifiée de principe fondamental reconnu par les lois de la République, par le Conseil Constitutionnel2 et par le Conseil d’Etat3. Section 1 : Protection de la liberté académique par l’Université de Montpellier Article 1. La liberté académique s’entend comme « la liberté de penser et d’enseigner sous l’égide de l’État, mais en toute indépendance »4. Article 2. La liberté académique suppose un degré de protection élevé car l’expression des opinions des enseignants-chercheurs, enseignants et chercheurs, ainsi que leurs contributions aux débats et controverses scientifiques, participent de l’intérêt général. Article 3. L’Université de Montpellier est attachée à la liberté académique, dans son exercice et sa protection, individuelle et collective. Article 4. L’Université de Montpellier protège, de manière générale, les enseignants-chercheurs, enseignants et chercheurs dont elle est l’employeur, dans l’exercice de leur liberté académique, par l’adoption de mesures proportionnées dans le cas où cela serait nécessaire. Article 5. L’Université de Montpellier protège, en particulier, les enseignants-chercheurs, enseignants et chercheurs dont elle est l’employeur, lorsqu’ils sont mis en cause dans des « procédures-bâillons »5, par l’octroi de la protection fonctionnelle en application des articles L.134-4 et L.134-5 du code général de la fonction publique, lorsque les conditions de ces textes sont réunies. Article 6. L’Université de Montpellier protège les enseignants-chercheurs, enseignants et chercheurs dont elle est l’employeur, lorsqu’ils sont lanceurs d’alerte, c’est-à-dire s’ils répondent aux conditions posées par la loi n°2016-1691 du 9 décembre 2016 relative à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique et par la loi n°2022-401 du 21 mars 2022 visant à améliorer la protection des lanceurs d'alerte. Section 2 : Conditions d’exercice de la liberté académique par les enseignants-chercheurs, enseignants et chercheurs Article 7. La liberté académique garantit pour les enseignants-chercheurs, enseignants et chercheurs, leurs possibilités de libre développement scientifique, créateur et critique, dans les domaines de la recherche et de l’enseignement. Article 8. La liberté académique s’entend, du point de vue de la recherche, comme la liberté de mener des travaux scientifiques, la liberté de publication des résultats de la recherche, la liberté de diffusion de la culture scientifique, la liberté de valorisation de la recherche, la liberté d’expression publique dans le cadre académique. Article 9. La liberté académique comprend également la liberté pédagogique et d’enseignement et s’entend comme la liberté dans le choix des supports, méthodes et pratiques pédagogiques, dans le respect des normes et usages en vigueur. Article 10. La liberté académique signifie que la conduite d’activités d’enseignement et de recherche par les enseignants-chercheurs, enseignants et chercheurs, est réalisée librement et sans menace ou pression, de source publique ou privée, exercée sous quelque forme que ce soit. Article 11. La liberté académique recouvre le droit pour les enseignants-chercheurs, enseignants et chercheurs, de choisir de travailler librement sur des questions qui leur semblent pertinentes, dans le respect des normes et usages en vigueur, afin de permettre la diffusion de l’information scientifique, de la culture et des savoirs. Article 12. L’exercice de la liberté académique oblige l’enseignant-chercheur, l’enseignant et le chercheur à adopter une démarche éthique et responsable dans toutes les dimensions de son activité (notamment recherche, pédagogie, diffusion de la culture scientifique). Article 13. L’exercice de la liberté académique, en tant que liberté d’exprimer une « croyance, opinion ou position théorique exprimée d’une manière académique appropriée »6, impose à l’enseignant-chercheur, à l’enseignant et au chercheur, le respect des principes de réserve, de tolérance et d’objectivité. Ainsi, l’exercice de la liberté académique ne signifie pas qu’ils peuvent tenir tout propos, notamment en diffusant sciemment des contre-vérités ou des éléments inexacts ou erronés, au risque de nuire à l’image et à la réputation de l’institution à laquelle ils appartiennent. Dans ce dernier cas, ils ne peuvent pas bénéficier de la protection fonctionnelle et s’exposent à des poursuites disciplinaires, voire à des poursuites judiciaires. Article 14. L’exercice de la liberté académique n’exclut pas, pour l’enseignant-chercheur,  l’enseignant et le chercheur, le respect de l’obligation de neutralité dans les conditions prévues, pour l’agent public, par l’article L.121-2 du code général de la fonction publique, dans ses activités qui ne relèvent pas de la pédagogie et de la recherche (notamment fonctions administratives, procédures de recrutement). Article 15. En vertu de la Recommandation de l’UNESCO en date de 1997 concernant la condition du personnel enseignant de l’enseignement supérieur et de la Charte nationale de déontologie des métiers de la recherche, les enseignants-chercheurs, enseignants et chercheurs dont l’Université de Montpellier est l’employeur, qui s’expriment publiquement, dans le cadre de leurs activités pédagogiques ou de recherche, quel que soit le support de communication, y compris dans les médias et sur les réseaux sociaux, doivent réfléchir, de manière appropriée et circonstanciée : à la manière de se présenter sans induire le public en erreur ; à préciser s’ils s’expriment au nom de l’Université de Montpellier ou à titre personnel ; à préciser s’ils s’expriment dans le cadre de leur expertise et spécialité professionnelles ; à préciser qu’ils s’expriment à titre personnel et non en tant que personnels de l’Université de Montpellier si les propos n’entrent pas dans le cadre de leur expertise et spécialité professionnelles  ; à déclarer d’éventuels liens ou conflits d’intérêts ; à mettre leur position et leur opinion en perspective avec d’autres opinions, convergentes ou contraires, afin de garantir l’objectivité du débat scientifique et du savoir (en application des articles L.952-2 et L.141-6 du code de l’éducation) ; à s’abstenir de tenir des propos à caractère d’injure ou de diffamation, entre collègues ou vis-à-vis de personnalités extérieures à l’Université de Montpellier ; à respecter le cadre légal relatif à la liberté d’expression, applicable à tous les citoyens, pour les propos diffusés à titre personnel en dehors du ou des domaines de compétences et d’expertise professionnelle. En effet, ces propos ne peuvent être couverts par la liberté d’expression académique.

Etape 1 : Composez le 15 (SAMU) ou 18 (pompiers) Le 114 (numéro d'appel d'urgences uniquement disponible en France) permet aux personnes sourdes et malentendantes d'alerter les secours (SAMU, Pompiers, Police) IMPORTANT : Indiquer aux secours l’adresse du lieu de l’accident ou du malaise un numéro auquel vous joindre l’état de la victime ne pas raccrocher en premier guider les secouristes à leur arrivée ⚠ En cas de risque persistant, protéger la victime et vous-même de tout suraccident. ETAPE 2 :  Dans l’attente des secours appeler un secouriste de votre site ou le PC sécurité de votre site Liste des secouristes de votre site : se référer aux affichages sur votre site. Listes des PC sécurité : Site TRIOLET : 04 67 14 30 00 Site RICHTER : 04 34 43 24 19Les loges sont à contacter uniquement en cas de fermeture du PC sécurité :   Loge bât B : 04 64 46 20 00 Loge Bât C : 04 34 43 24 44 Loge Bât D : 04 34 43 23 33 Loge Bât E : 04 34 43 21 92 Saint Priest : 04 67 14 99 00 Site centre-ville : Présidence: 04 34 43 31 30 Institut biologie: 04 34 43 34 00 Institut botanique: 04 99 23 21 80 RAPPEL : Depuis un poste fixe de l'UM, vous devez faire le 0 avant de composer les numéros extérieurs. Malaise cardiaque En cas de malaise cardiaque, l'Université de Montpellier dispose de défibrillateurs répartis sur les différents sites. Cartes des défibrillateurs sur les sites de l’UM Malaise sans gravité Le 15 pourra proposer une orientation vers le Service de Médecine Préventive (SCMPPS) pour les malaises sans gravité. Antennes SCMPPS sur les sites de Montpellier et de Nîmes  Dernière étape : démarche de déclaration d'accident Pour les personnels de l’Université de Montpellier  Tout arrêt de travail en lien avec un accident de service doit être transmis sous 48h à sa hiérarchie. Vous avez 15 jours pour constituer le dossier d'accident de service en suivant la procédure. Signaler l’accident sur le registre Santé et Sécurité au Travail (SST) disponible dans chaque unité de travail. Pour les étudiants inscrits à l’Université de Montpellier  Vous disposez de 48h pour établir votre déclaration d’accident.

Pourquoi la nécessité d’une telle association est-elle apparue ? Parce que ces collections sont très nombreuses, diverses, et que la nécessité de leur sauvegarde et de leur valorisation n’a pas toujours été une priorité pour l’Université ou les structures de recherche.  Leur prise en compte institutionnelle est relativement récente, et un service des collections (à présent SPH) formalisé n’a été par exemple mis en place (à l’UM2 d’alors) que depuis 2004, et encore avec des moyens humains limités. Les personnels sensibilisés se sont alors regroupés au sein de l’association. La question de leur statut (avant la création de l’association) avait été posée à différentes reprises aux services juridiques du ministère de l’ESR qui ne voulait pas entendre parler de « bénévoles » dans le cadre institutionnel, l’association a donc été créée en septembre 2004. En quelle qualité interviennent les membres de l’Association ? En tant qu’experts : Leur expertise (celle d’enseignants-chercheurs, de chercheurs, étudiants avancés, doctorants, de praticiens et personnels techniques ayant eu, ou ayant peu ou prou trait à ces collections, amateurs éclairés) peut être mise à profit à différents niveaux :  au niveau des objets, de leur conservation ainsi que de leur valorisation pour et par la recherche (mise à disposition de chercheurs ou participations à des recherches, publications scientifiques…), de leur valorisation par la sélection et la présentation d’objets pour participer à la diffusion de la culture scientifique (expositions, ateliers scientifiques, conférences…). L’AACST est partenaire et non subordonnée à un service de l’Université : Son périmètre d’intervention a été clairement délimité lors de sa création, tant par ses fondateurs que par l’Université (avec avis du ministère de tutelle) et son Service des Collections d’alors. Mais, bien entendu, toute intervention sur des collections de l’Université (et par délégation, sous la responsabilité du Service du Patrimoine Historique, ou d’un laboratoire de recherche), ne peut se faire qu’avec l’accord du SPH ou du laboratoire de recherche. bureau Présidente : Monique Vianey-Liaud Secrétaire : Mireille Charmantier Trésorier : Pierre Demathieu Membres du bureau : Anne Lise Charruault et Henri Reboul

L’AS Pharma se donne pour objectif d’inclure le plus de personnes possibles, dans la pratique sportive. L’AS Pharma est ouverte à tous et propose des activités pour les sportifs et non sportifs à tous les niveaux. Activités L’AS Pharma propose plusieurs activités, en commençant par les séances hebdomadaires de foot au terrain de la faculté, ainsi que des séances de course et de boxe au stade Philippidès. En complément, l’association organise divers événements, comme une soirée à la patinoire d’Odysseum, une partie de pétanque au boulodrome, une session au trampoline park et même un cross réunissant étudiants et enseignants de la faculté Bureau Bureau AS Pharma 2025 : Président : ROYO CélianNuméro de téléphone : 0673517138Courriel Trésorier : ARTUSO Adrien Secrétaire : MIRON Charlotte Vice-Président Général : TISSOT Maxime Vice-Président Événementiel : PASQUIE Lucas Vice-Président Événementiel : PAYAN Arthur Chargé de Missions Partenariats : GUERIN Émilie Vice-Présidente Communication : GARNIER Isabel Vice-Présidente Communication : ARGENSON Lola Chargé de Mission Communication : CAZELLES Gabriel Vice-Présidente Course : PANINE Valéria Vice-Présidente Course : DELSET Margot Vice-Président Foot : EL GHIOUANE Bilal Vice-Président Foot : WILLEMS Elie Vice-Président Boxe : EL IDRISSI RACHIDI Younès Chargé de Missions Boxe : KLINK Cédric Vice-Président E-Sport : DUGUET Jules

La Plateforme d’Analyse et de Caractérisation (PAC) rassemble les équipements des Instituts du Pôle de Chimie Balard (ICGM, IBMM, IEM et ICSM), de l’ENSCM et des services communs de l’Université de Montpellier rattachés à la Chimie. L’objectif de cette plateforme est de mettre à la disposition des utilisateurs, des équipements de pointe et un réseau de compétences, dans le domaine des sciences chimiques. La PAC comprend 4 entités, le Laboratoire de Mesures Physiques (LMP), le Réseau des Rayons X et Gamma (RRXG), la Plateforme de Microscopie Électronique et Analytique (MEA), et le Plateau Technique (PT-ICGM). Ses activités s’articulent autour de 3 axes : Analyse et caractérisation du solide et des matériaux Caractérisation de molécules et macromolécules organiques Caractérisation des matériaux et des fluides associés aux procédés séparatifs La Plateforme d’Analyse et de Caractérisation offre des possibilités exceptionnelles de mesures en Diffraction des rayons X, Microscopies Électronique, Spectroscopies RMN, Spectroscopies IR – Raman, Spectrométrie Mössbauer, magnétométrie SQUID, Spectroscopie RPE, XPS, Spectrométries de masse, Analyses texturales et granulométriques, Analyses chimiques (analyses élémentaires, AAS, ICP-MS, Fluorescence X), Analyses calorimétriques et thermiques, Spectroscopies diélectriques. Les différents services sont organisés autour de centres de compétence reposant sur les personnels techniques dédiés à ces appareils, en lien permanent avec les chercheurs et des enseignants chercheurs spécialistes du domaine. La Plateforme d’Analyse et de Caractérisation du Pôle Chimie Balard est ouverte à l’ensemble de la communauté scientifique académique et au monde industriel (Grands Groupes, PME-PMI, StartUp). L’accès aux services se fait sous forme de prestations, de collaborations, ou de partenariats, comprenant : la prise en charge de prestations analytiques par le personnel PAC, des projets de recherche et de développement, des développements méthodologiques et instrumentaux, des formations théoriques et pratiques. Label : Unité d’Appui et de Recherche (UAR)Tutelles principales : UM - CNRS - ENSCMPôle de recherche : Pôle chimie

Une unité de recherche dédiée à la lutte contre les maladies tropicales négligées dues aux Trypanosomatidés pour améliorer la santé humaine et animale Nos recherches portent sur l’étude intégrée de l’homme et de l’animal, avec une approche One Health, des trypanosomoses, des leishmanioses et de la Maladie de Chagas afin d’améliorer le contrôle et l’élimination de ces maladies. Nous sommes Centre collaborateur de l’OMS et Laboratoire de référence de l’OIE. Label : Unité Mixte de Recherche (UMR)Tutelles principales : CIRAD - IRDTutelle secondaire : UMPôle de recherche : Pôle Biologie-Santé (BS)Écoles doctorales : CBS2 : Sciences Chimiques et Biologiques pour la Santé - GAIA : Biodiversité, Agriculture, Alimentation, Environnement, Terre, Eau Site web

Label : Unité d’Appui et de Recherche (UAR)Tutelles principales : CNRS - UMPôle de recherche : Pôle Agriculture-Environnement-Biodiversité (AEB)

L’ UMR Gestion de l’Eau, Acteurs, Usages, regroupe 90 chercheurs et ingénieurs permanents et une cinquantaine de doctorants et postdoctorants de toutes disciplines travaillant ensemble sur les questions de gestion intégrée et adaptative de l’eau. Elle conduit des recherches sur les trajectoires des socio-hydrosystèmes et leur régulation ; elle contribue à la conception et à l’évaluation des outils facilitant la mise en oeuvre de politiques publiques innovantes concernant l’eau ; elle participe à une formation pluridisciplinaire d’étudiants dans le domaine de l’eau. L’UMR G-EAU, rattachée à l’I-Site MUSE, est membre de ICIREWARD, Centre de Catégorie 2 sous l’égide de l’UNESCO sur l’eau à Montpellier. Le cœur du projet de l’UMR G-EAU est la compréhension du fonctionnement de socio-hydrosystèmes aussi bien en fonctionnement courant qu'en période de crise ou de forte tension (pénurie, inondation, pollution). Nous analysons les processus hydrologiques, techniques, sociaux, économiques et politiques au sein d’un territoire lié à l’eau et leurs conséquences. Nous mobilisons également notre force interdisciplinaire pour analyser les effets combinés de ces processus, et in fine identifier les possibilités de gouvernance et d’adaptation en environnement complexe et incertain. Le projet inclut la conception et le test, en interaction avec la société, d’outils et de dispositifs visant à révéler le fonctionnement de ces systèmes et à intervenir sur leur trajectoire. Issue d’équipes travaillant sur les systèmes irrigués, l’ UMR G-EAU a progressivement élargi ses centres d’intérêt pour aller vers la gestion intégrée. Elle aborde maintenant les territoires liés à l’eau comme des systèmes complexes en mobilisant une diversité de points de vue : Pluralité des usages et intérêts : irrigation, eau potable, loisirs, énergie, épuration, protection contre les inondations Pluralité des types d’eau : eau de surface, eau souterraine, eaux usées Pluralité des processus : transferts d’eau et de polluants, technologies d’irrigation, instruments économiques, participation du public, modes d’appropriation Pluralité des modes de régulation : infrastructures en rivières et canaux, politiques d’accès à l’eau et d’usages du sol, normes relatives aux usages de l’eau. Pluralité des disciplines Pour toutes ces recherches, l’ UMR G-EAU met l’accent sur des démarches ancrées dans des études de cas. Cela signifie un investissement dans une recherche fondée sur l’observation de terrain complétée par des démarches expérimentales menées en interaction avec des usagers et/ou des gestionnaires. Pour construire sur les connaissances ainsi générées, l’ UMR s’appuie sur un large réseau de partenaires et de sites de recherche à travers le monde, en France et dans des pays du Sud, présentant une diversité d’enjeux par rapport à l’eau et de contextes hydro-écologiques, socio-économiques et politiques. Un tiers des agents sont en situation d’expatriation au Maghreb, en Afrique occidentale et australe, en Asie du Sud Est. En France, des conventions de collaboration nous rapprochent d’institutions en charge de gestion de bassin versants. Cette implication dans les terrains nous conduit à des interactions fortes avec les acteurs. L’ UMR G-EAU est enfin soucieuse du transfert de ses résultats. Trois voies sont mobilisées pour cela : Le test avec les institutions locales des techniques et instruments proposés, La formation d’étudiants au Nord au sein du Master Eau de Montpellier et des écoles d’ingénieur, tutelles de l’ UMR (Montpellier SupAgro et AgroParisTech) et au Sud au sein des Masters portés par les partenaires qui nous hébergent, L’accueil d’entreprises partenaires et en particulier de jeunes entreprises en création. Label : Unité Mixte de Recherche (UMR)Tutelles principales : CIRAD - IRD - INRAE - AgroParis Tech - Institut Agro - BRGMTutelle secondaire : UMPôle de recherche : Pôle Agriculture-Environnement-Biodiversité (AEB)Écoles doctorales : EDEG : Economie Gestion - GAIA : Biodiversité, Agriculture, Alimentation, Environnement, Terre, Eau Site web

Le Centre Spatial de l’Université de Montpellier (CSUM) est le leader français dans le développement et le lancement de nanosatellites académiques. Le CSUM est une Unité d’Appui à la Recherche de l’Université de Montpellier (UAR UM 502) pour le support à la formation et à la recherche par l’ingénierie de nanosatellites. Label : Unité d’Appui et de Recherche (UAR)Tutelles principales : UMPôle de recherche : Mathématiques, Informatique, Physique et Systèmes (MIPS) Site web

Une Initiative Clé pour une Recherche Interdisciplinaire Innovante en Santé des Plantes et des Agrosystèmes. Face aux multiples risques biotiques et abiotiques pesant sur les plantes, tels que les maladies, les ravageurs, les changements climatiques, et les pratiques agricoles intensives, la recherche en santé des plantes s’impose comme un enjeu majeur. Ces défis affectent non seulement la productivité agricole mais aussi la sécurité alimentaire, la biodiversité et l’équilibre écologique. Dans ce contexte, l’initiative CLAPAS1 propose d’explorer la santé des plantes à travers une approche élargie, s’inspirant du concept d’exposome, qui englobe l'ensemble des interactions entre les plantes et leur environnement (sols, microbiotes, bio-agresseurs, auxiliaires, etc.). Cette démarche s’inscrit pleinement dans la perspective de la santé globale (One Health), reliant santé végétale, environnementale, animale et humaine. Objectifs de l’Initiative-Clé CLAPAS vise à structurer la communauté scientifique Montpelliéraine autour de trois axes de recherche prioritaires : Mécanismes et écologie des interactions biotiques dans les agrosystèmes. Rôle des microbiotes dans l’adaptation des plantes à leur environnement. Épidémio-surveillance et dynamiques adaptatives des bio-agresseurs. Ces recherches poursuivent trois grandes finalités : Prévenir les risques, grâce à des outils tels que la modélisation écologique, la génomique, et l’épidémio-surveillance. Guérir, en développant des solutions innovantes comme l’exploitation des microbiotes, des métabolites ou des auxiliaires naturels, ou encore des méthodes telles que la confusion chimique et la technique de l’insecte stérile. Renforcer la résilience, en évaluant les impacts environnementaux, sociaux et économiques des solutions proposées. Une Dynamique de Collaboration Ce projet rassemble de nombreux laboratoires du pôle de recherche « Agronomie, Environnement, Biodiversité » (AEB) de l’I-Site fédérant plusieurs institutions de recherche nationales (INRAE, IRD, Cirad, Institut Agro Montpellier, Université de Montpellier), et s’appuie sur des collaborations internationales, notamment avec les pays du Sud, fortement touchés par les changements climatiques. CLAPAS s’inscrit également dans des initiatives nationales et européennes, et collabore avec des acteurs non-académiques (FREDON, Chambre d’Agriculture, entreprises spécialisées). En renforçant les synergies interdisciplinaires et en favorisant des pratiques agricoles durables, CLAPAS ambitionne de positionner Montpellier comme un pôle d’excellence en recherche sur la santé des plantes, résolument tourné vers les défis de demain. Actions clés de l’initiative clé CLAPAS : Santé des plantes et approche intégrée CLAPAS met en œuvre des actions interdisciplinaires et collaboratives pour renforcer la recherche et la sensibilisation autour de la santé des plantes, en intégrant les concepts d’exposome et de One Health. Elles s’adressent aux unités scientifiques locales autour de quatre principales initiatives : Organisation d’événements scientifiques : Des conférences, ateliers et rencontres régulières seront organisés pour favoriser les échanges entre chercheurs, diffuser les découvertes et consolider un réseau scientifique dynamique autour de la santé des plantes. Soutien aux projets de recherche interdisciplinaires: Des financements seront alloués à des projets collaboratifs entre plusieurs unités de recherche, en mettant l’accent sur la formation des étudiants de Master. Les projets encourageront des synergies avec les sciences sociales, la santé humaine ou animale, favorisant des recherches innovantes et intégratives. Écoles-chercheurs et formations spécialisées : Des formations seront proposées aux chercheurs et doctorants, notamment sur des thèmes clés comme la santé des plantes et de l’environnement, les communautés microbiennes, la biodiversité, la modélisation en épidémiologie et les analyses bioinformatiques. Ces écoles visent à renforcer les compétences des jeunes scientifiques et des équipes de recherche. Interactions science-société : Des enquêtes seront réalisées pour mieux comprendre la perception de la santé des plantes par les acteurs locaux (ex. : jardins partagés à Montpellier). Parallèlement, des ateliers de sensibilisation pour le grand public seront organisés lors d’événements comme la Fête de la Science ou le colloque de clôture du projet. Ces actions ambitieuses visent à structurer une communauté de recherche autour de la santé des plantes, à encourager des approches innovantes et durables, et à sensibiliser la société aux enjeux liés à la santé végétale dans une perspective globale.

Lauréat de l’appel à projets ASDESR1 Doté d’un financement substantiel de plus de 3,6 millions d’euros, le projet Moment-UM s’inscrit dans le cadre du quatrième plan d’investissement d’avenir France 2030, lancé par l’Agence Nationale de la Recherche (ANR). Ce projet vise à renforcer la position de l’UM en tant qu’acteur clé de la recherche européenne, de la formation continue et de l’innovation à travers différents volets d’actions.   Europe Moment-UM a pour ambition de dynamiser la participation des chercheurs de l’UM au programme Horizon Europe (Programme-Cadre européen pour la recherche et l’innovation). Les bourses ERC (Conseil Européen de la Recherche), les actions Marie Sklodowska-Curie, l’EIC (Conseil Européen pour l’Innovation) sont des instruments privilégiés. L’objectif est double : augmenter le nombre de projets présentés et améliorer le taux de réussite.  En étroite collaboration avec trois organismes nationaux de recherche implantés sur le territoire montpelliérain (CNRS, INSERM et IRD), Moment-UM s’engage à accroître la visibilité et l’accompagnement des équipes de recherche sur le site de Montpellier, à travers :  Le renforcement du personnel de soutien à travers l'embauche de nouveaux experts. Le soutien individualisé à l'écriture des projets.  La formation et la coordination des experts.  Une communication et une visibilité accrues des financements et des projets.  Formation Moment'UM vise à renforcer le positionnement de l’Université de Montpellier sur le marché de la formation professionnelle pour accroitre le développement professionnel des étudiants, des chercheurs et des professionnels.  Ce volet se concentre sur le développement de formations courtes et de diplômes d'établissement pour répondre aux besoins spécifiques des entreprises, à travers :  La création de nouvelles formations et diplômes.  La promotion de l'approche compétence.  La mise en place de parcours de Validation des Acquis de l'Expérience (VAE) collectifs.  La communication et la promotion de l'offre de formation.  Pour toute information complémentaire, vous pouvez contacter l’équipe de coordination du projet MOMENT’UM par email.  Le projet "Moment'UM" (ANR-22-ASDR-0029), bénéficie d'une aide de l'Etat gérée par l'ANR au titre de France 2030. 

Bio’Occ est un projet financé par l’Etat dans le cadre du plan France 2030. Cette initiative d’ambition régionale vise à attirer, former et fidéliser les talents et acteurs de demain en développant des formations spécialisées dans le domaine des Biothérapies et Bioproduction. Dans un contexte où ce secteur d’activité connaît un développement grandissant en Occitanie, mais aussi à l’échelle nationale, Bio’Occ répond à une demande spécifique des industriels, confrontés à des défis de recrutement. En créant un écosystème dynamique et innovant, ce projet promet de transformer le paysage des biotechnologies en région, tout en soutenant la croissance des entreprises et en préparant les professionnels de demain à relever les défis futurs. Ce projet a bénéficié d’une aide de l’État gérée par l’Agence Nationale de la Recherche au titre de France 2030 portant la référence ANR-23-CMAS-0004. https://www.youtube.com/watch?v=Vlrrsc56bCA Un projet structuré en quatre axes, pour répondre aux objectifs de l’AMI CMA. Adapter les formations existantes :Améliorer leur adéquation aux besoins à travers le renforcement des partenariats avec l’industrie et la mise en place de plateaux pédagogiques. Compléter l’offre de formation existante :Répondre aux besoins spécifiques en compétences en formation initiale et formation continue. Développer des outils de prospective :Mieux cibler l’évolution des besoins et mieux adapter les formations en continu. Déployer des actions de communication :Améliorer l’attractivité des métiers et l’acceptabilité sociale des biothérapies. Les formations concernées à l’Université de Montpellier. BAC +3 BUT Génie Biologique : Biologie médicale et biotechnologie BUT Génie Biologique : Sciences de l’aliment et biotechnologie Licence 3 Sciences de la Vie : Parcours Bioproduction et Biotechnologies pour la Santé (L3 BIO²S) - Ouverture en septembre 2025 BAC +5 Master Biologie-Santé : Parcours Ingénierie thérapeutique et bioproduction en Biotechnologie-Santé (IBIS) Master Biologie-Santé : Parcours Gestion et évaluation des Essais Thérapeutiques (GET) Master Biologie-Santé : Parcours BIOTIN Master Biologie-Santé : Parcours Cancer Biology Master Biologie-Santé : Parcours Médecine Expérimentale et Régénératrice Master Ingénierie de la Santé : Conception et Production des Produits de Santé - Sous parcours Médicament (CPPS) Master Bio-Informatique Master Informatique : Parcours Intelligence artificielle et science des données (IASD) Bio’Occ : un large réseau de partenaires Equipe opérationnelle de l'UM Laila Gannoun, Thérèse Commes, Estelle Grousseau, Anne-Dominique Lajoix, John de Vos, Pierre Morange, Camélia Sennaoui Page officielle

L’initiative clé internationale Water (INITIATE - InternatioNal InTercultural Interdisciplinary wATer nEtwork) est développée à l’Université dans le cadre du projet UM2030, lauréat de l’Appel à Projets « Intégration et Développement des IdEx et des ISITE » (IDéES). L’initiative est le résultat d’une collaboration multilatérale entre l’Université de Montpellier (UM) et ses partenaires stratégiques à travers le monde, dont trois Centres internationaux UNESCO (situés à Montpellier, Delft et Dundee). INITIATE représente une plateforme collaborative de formation doctorale et constitue une infrastructure mondiale virtuelle pour la coopération internationale sur les sciences de l’eau. https://www.youtube.com/watch?v=L-HQFeuB3BQ Présentation Les acteurs L’initiative INITIATE a été construite entre l’UM et ses partenaires dès 2022. Côté UM, l’initiative est portée scientifiquement par Olivier Barreteau, chercheur INRAE et directeur adjoint du Centre International UNESCO ICIREWARD (ICIREWARD) à Montpellier ainsi que par les chargés de projets Sandie Mennechet et Beatriz Gasparini Reis au sein d’ICIREWARD. L’initiative prend la forme d’une plateforme collaborative mondiale de formation doctorale réunissant des doctorants des partenaires stratégiques de cette institution. La Plateforme est gérée à l’UM par Nathalie Modjeska et Emilie Morin, au sein du Service d’appui à l’international et à l’attractivité des programmes structurants de la Direction des Programmes Structurants. Gouvernance La Plateforme est dirigée par un Comité de Pilotage International (CPI), qui comprend un haut représentant de chacune des institutions membres fondatrices de la Plateforme (UM et ses partenaires). Université de Montpellier, FR: Olivier Barreteau Australian National University, AU: Joseph Guillaume Dublin City University, IE: Fiona Regan IHE Delft Institute for Water Education, NL: Margreet Zwarteveen Rhodes University, ZA: Nelson Odume Université de Sherbrooke, CA: Marie-Amélie Boucher Université Laval, CA: François Anctil University Cheikh Anta Diop Of Dakar, SN: Awa Fall University Felix Houphouet Boigny, CI: Dimitri Soro University Mohamed 6 Polytechnique, MA: Abdelghani Chehbouni University of Barcelona, ES: Joaquim Farguell Pérez University of Dundee, GB: John Rowan Le CPI décide et supervise la mise en œuvre des orientations stratégiques et des activités globales de la Plateforme. Il se réunit virtuellement au moins une fois tous les deux mois virtuellement et en personne au moins une fois par an. 12 Partenaires Europe University of Montpellier (UM),FR University of Dundee, GB IHE Delft, NL Dublin City University (DCU), IE University of Barcelona, ES Amérique du Nord Université Laval, CA Université de Sherbrooke, CA Afrique Rhodes University, ZA University Cheikh Anta Diop of Dakar, SN University Felix Houphouet Boigny, CI University Mohamed VI Polytechnique (UM6P), MA Océanie Australian National University (ANU), AU Objectifs La plateforme vise à : Construire une communauté mondiale de futurs leaders des sciences de l'eau grâce à l'internationalisation de la formation doctorale et au développement de réseaux d'expertise et d'influence tout au long de la vie. Accroître l'impact des sciences de l'eau par la promotion et le soutien, au niveau doctoral, d'approches de recherche inter et transdisciplinaires et le développement d'expertises à l'interface science-politique-société dans le domaine de l'eau. Faciliter les opportunités de recherche à plus long terme ainsi que les perspectives de développement de carrière pour les scientifiques en début de carrière dans le domaine du développement durable. Faire progresser les pratiques de science ouverte et d'éducation ouverte grâce au développement de nouveaux partenariats mondiaux équitables. Programme La Plateforme doctorale INITIATE ambitionne de réunir une fois par an la cohorte de doctorants pour des écoles de terrain et/ou des formations sur des thématiques de sciences de l'eau. Chaque cohorte est constituée jusqu'à 2 doctorants par institution partenaire pour une durée de deux ans. Ces jeunes chercheurs, issus de domaines de recherche sur l’eau variés, sont conviés à participer à des activités en ligne et en présentiel pendant cette période et après, ils rejoindront un réseau d'Alumni avec d'autres anciens boursiers INITIATE. INITIATE vise à favoriser l’interdisciplinarité et l’interculturalité à travers la diversité des doctorants qu’elle réunit. Les doctorants travaillent en groupe et échangent afin de renforcer leurs liens et de former un réseau international de futurs leaders des sciences de l'eau. La Plateforme offre : Des opportunités de publication de documents, création de supports de communication par les doctorants Une infrastructure virtuelle mondiale pour faciliter la discussion et le partage de documents Une visibilité de la thématique de recherche à l’international La possibilité de participer à des événements internationaux Une opportunité de réseautage pour les jeunes chercheurs La première cohorte, promotion 2024, comprend 19 étudiants de 11 nationalités. Ces doctorants seront réunis au Maroc du 25 au 29 novembre 2024 pour la première école d’automne et devraient être accueillis à Montpellier en octobre 2025 pour la deuxième école d'automne.

A global alliance for sustainable risk mitigation in a one-health approach. L’initiative clé internationale ‘VECT-OH : A Global Alliance for Sustainable Vector Risk Mitigation in a One Health Approach’ est développée à l’Université dans le cadre du projet UM2030, lauréat de l’Appel à Projets « Intégration et Développement des IdEx et des ISITE » (IDéES). L’initiative a pour vocation de mobiliser et fédérer la communauté scientifique internationale sur les défis clés et les enjeux majeurs liés aux insectes et arthropodes vecteurs et aux maladies qu’ils transmettent aux humains, aux animaux et aux plantes. Le consortium formé autour des Universités partenaires de l’UM promeut une recherche intégrative, déclinant l’approche « Une Seule Santé/One Health » à la prévention et au contrôle des maladies à transmission vectorielle. Il se donne pour ambition de transcender les traditionnelles collaborations bilatérales en identifiant des problématiques transversales à forte valeur ajoutée, déclinables à l’échelle des territoires, et permettant d’agréger bailleurs et parties prenantes pour une gestion durable du risque vectoriel à l’aune du changement climatique. La priorité scientifique est mise sur le risque vectoriel associé à la (re)végétalisation des villes, en cohérence avec les expertises représentées au sein du consortium et les agendas des partenaires locaux dans les régions où le consortium est implanté. https://www.youtube.com/watch?v=oW4xKvYVAKs Présentation Les acteurs L’initiative ‘VECT-OH : A Global Alliance for Sustainable Vector Risk Mitigation in a One Health Approach’ regroupe les équipes de recherche de 7 Universités et Instituts de recherche du Nord et du Sud, partenaires stratégiques historiques de l’UM, mobilisées sur la thématique des vecteurs et du risque vectoriel. Tous les partenaires sont engagés dans des projets de recherche collaboratifs et mutualisent leurs expériences, leurs expertises et leurs ressources pour co-construire et faire émerger des axes de recherche innovants et fédérateurs. Le consortium se veut ouvert à l’adhésion d’autres équipes de recherche et partenaires institutionnels.     Gouvernance L’initiative VECT-OH est pilotée depuis Montpellier par Frédéric Simard (DR IRD, DU MIVEGEC) et Mathilde Mercat (Postdoc UM). La coordination des différentes actions de recherche soutenues par l’initiative est confiée aux différents partenaires qui se réunissent régulièrement à distance et au moins une fois par an en présentiel à Montpellier. 7 Partenaires Europe University of Montpellier (UM), FR University of Barcelona (UB), SP Netherlands Institute for Vectors, Invasive plants and Plant health (NIVIP), NL Wageningen University and Research (WUR), NL Amérique du Nord University of California Davis (UC Davis), USA Afrique University Cheikh Anta Diop of Dakar (UCAD), SN Agronomy and Veterinary Institute Hassan II (IAV Hassan II), MA Objectifs L’initiative VECT-OH vise à : Construire, fédérer et animer une communauté de recherche et d’expertise autour de la problématique des vecteurs et des maladies à transmission vectorielle en privilégiant les approches intégratives interdisciplinaires et trans-sectorielles, entre santé publique humaine, animale, végétale et environnementale,   Accompagner les activités de recherche locales sur le sujet afin de développer des synergies entre équipes et promouvoir des approches standardisées et reproductibles, Rechercher des financements externes pour développer les activités de recherche à l’international, Générer les preuves scientifiques et les outils nécessaires à la prise de décision par les acteurs des politiques publiques pour une gestion durable du risque vectoriel. L’initiative offre : Des opportunités de financement d’activités de recherches locales sur la thématique Des opportunités de partage de données et d’expériences entre partenaires Le développement d’une communauté d’acteurs internationale sur la thématique Des opportunités de publication de documents scientifiques et techniques à destination de diverses audiences, Une visibilité de la thématique de recherche à l’international, la possibilité de participer à des évènements internationaux et une opportunité de réseautage pour les jeunes chercheurs Programme Le consortium organise un atelier de travail qui a lieu chaque année en présentiel à Montpellier. En 2022, le premier atelier a permis d’identifier la question du risque vectoriel associé à la (re)-végétalisation des villes comme un axe privilégié de recherche et la rédaction d’une feuille de route pour fédérer l’ensemble des acteurs sur la thématique dont l’un des premiers points est la réalisation d’une revue systématique de la littérature sur les relations entre végétation urbaine, vecteurs et risque vectoriel. L’atelier de 2023 a combiné des visites de sites sur le terrain pour confronter les protocoles expérimentaux utilisés par les différents partenaires pour le suivi des populations de vecteurs, et des réflexions collectives sur la standardisation des protocoles qui ont débouché sur la co-construction d’une réponse collective à un appel à projets Biodiversa+ mobilisant l’ensemble des partenaires éligibles. L’atelier de 2024 sera organisé en marge de la XXIIIème conférence de l’European Society for Vector Ecology qui regroupera cette année plus de 450 participants à Montpellier autour du thème « One Health in Action ». Posters de présentations de l’initiative VECT-OHTélécharger

Le SCUIO-IP propose divers contrats étudiants au long de l’année universitaire. Nous vous présentons sur cette page les postes à pourvoir, les modalités de candidature, ainsi que les contacts utiles. Postes proposés au SCUIO-IP pour l’année universitaire 2024-2025. Télé-enquêtrices et télé-enquêteurs à l’OSIPE L'OSIPE, Observatoire du Suivi et de l'Insertion Professionnelle des Etudiants, recrute 6 étudiantes et étudiants enquêteurs pour contacter par téléphone les anciens diplômés et connaitre leur situation professionnelle. Conditions du contrat : 3 soirs par semaine répartis du lundi au jeudi, de 17h30 à 20h, de janvier à mi-avril. Total de 100h environ. En présentiel, sur le site Triolet. Rémunération au SMIC. Le recrutement a lieu en novembre. Découvrez les activités et la page de l'OSIPE. Contact Étudiantes-étudiants Ambassadeurs projet COMPAS Mission principale : Intervenir auprès des lycéens de la région Occitanie-Est pour les sensibiliser sur l’offre de formation et la vie étudiante de l’Université de Montpellier. Activités : Assurer une information complète sur l'accès aux études à l'UM auprès des lycéens de la région Occitanie-Est dans le cadre d’interventions organisées par les lycées, dans certains salons académiques aux côtés du SCUIO-IP, ou lors d’autres évènement et autres actions ayant pour objectif l’information des lycéens et de leur famille ; Informer les lycéens des moyens d’optimiser leurs chances de succès pour intégrer les filières de l’Université de Montpellier, en s’appuyant sur la documentation élaborée par le SCUIO-IP, en collaboration avec les composantes pédagogiques ; Présenter les services utiles aux étudiants et témoigner de la vie étudiante de l’établissement. Contrainte du poste : Déplacements dans toute la région Occitanie-Est et horaires variables. En savoir + Postuler Tutrice-tuteur Études de santé Sous la responsabilité du SCUIO-IP : Assurer une information complète sur l’accès aux études de santé à l'UM auprès des lycéens de la nouvelle région Occitanie dans le cadre de journées d'orientation professionnelle organisées par les lycées, et dans certains salons académiques aux côtés du SCUIO-IP. Informer les lycéens des moyens d’optimiser leurs chances de succès pour intégrer les filières de santé en s’appuyant sur la documentation élaborée par le SCUIO-IP, en collaboration avec les composantes pédagogiques de santé. Présenter le dispositif d’aide à la réussite. Conditions de recrutement : Être inscrit en formation initiale, niveau minimum 2ème année du Diplôme de Formation Générale en Sciences Médicales, Pharmaceutiques, Odontologiques ou Maïeutique de Montpellier ou Nîmes, à l’Université de Montpellier Satisfaire à l’obligation d’assiduité aux enseignements obligatoires et aux examens Expérience Tutorat fortement recommandée Permis B et Véhicule personnel Observations : Déplacements fréquents dans toute la nouvelle région Occitanie et horaires variables. Prise en charge des frais de transport. Contact