L’axe Interfaces de l’Institut ExposUM

Présentation de l’Axe Interfaces et de l’équipe

L’axe Interfaces de l’Institut ExposUM a pour objectif de créer une dynamique de valorisation des résultats de la recherche à l’interface Sciences/Sociétés. 

Ainsi, au niveau académique, l’axe Interfaces vise à renforcer une interdisciplinarité élargie autour de l’exposome, en favorisant des espaces de dialogues entre les sciences sociales (sociologie, anthropologie, géographie…), les sciences médicales et environnementales, les sciences de l’ingénieur etc..

De plus, l’axe Interfaces vise à renforcer les collaborations entre les chercheur.es du monde académique en Occitanie, la société civile (associations, OnG, groupements de producteur.rices, associations de patient.es, SCOOP) et les acteurs publics (ARS, élu.es de la métropole, acteur.rices de la région Occitanie, collectivité territorial) autour d’actions transdisciplinaires, en repérant et accompagnant les convergences avec d’autres dynamiques santé/environnement impliquant acteurs académiques, publics, associatifs.

L’équipe de l’axe Interfaces inscrit ses actions dans des approches territoriales, en accompagnant de nouvelles collaborations entre acteurs publics et académiques, tout en impliquant la société civile, par exemple en créant de nouveaux espaces d’interaction Sciences/Décisions et en traduisant les demandes sociales de recherche.

L’équipe de l’axe Interfaces est basée dans les locaux de la Maison des Sciences de l’Homme SUD (MSH SUD, Unité d’appui et de recherche 2035 CNRS-UM-UPVM) et s’appuie sur ses dispositifs : services généraux et direction, pôle image, incubateur d’interdisciplinarité élargie (ICI-ELA), plateau sciences-société etc. 

Les activités menées dans l’axe Interfaces se font en proximité avec les acteurs du Défi Clé Région Occitanie RIVOC, en particulier au niveau du projet V2MOC visant à mieux appréhender les risques infectieux vectorisés dans le cadre de la végétalisation des Métropoles de Montpellier et de Toulouse, en collaboration avec l’institut d’études avancées MAK’IT (Montpellier Advanced Knowledge Institute on Transitions) de l’Université de Montpellier et avec l’équipe ImpresS (Impact of Research in the South) du CIRAD ainsi que d’autres équipes de recherche.

L’axe Interfaces collabore également avec le Pôle Universitaire d’Innovation (PUI) de l’UM ciblant les acteurs de l’innovation et du secteur privé pour la valorisation économique des innovations.

L’équipe

L’axe Interfaces est supervisé par Aurélie Binot1, aussi membre du CODIR ExposUM.

Tiphaine Lefebvre, Assistante des projets du pilier interface Exposum a été recrutée par la DPS et est basée à la MSH SUD depuis septembre 2023.

Mariline Poupaud, Chargée d’appui scientifique, a été recrutée par la DPS et est basée à la MSH SUD depuis janvier 2024.

Enfin, pour appuyer l’équipe dans les missions d’accompagnement et d’animation de la cohorte des porteur.ses de projet lauréat ExposUM, Alexandre Guichardaz, consultant en ingénierie de la concertation collabore avec l’équipe à hauteur de 20% de son temps de travail.

Activités menées dans le cadre de l’axe interfaces

Les activités de l’axe interfaces peuvent se structurer en quatre principaux points :

  • Accompagnement de la cohorte des porteur.ses de projets financés par l’Institut ExposUM
  • Valorisation des initiatives interdisciplinaires ou transdisciplinaires issues projets portant sur l’exposome
  • Animation d’un séminaire permanent pour stimuler les réflexions interdisciplinaires autour de l’exposome
  • Accompagnement d’actions territoriales inter ou transdisciplinaires dans la région d’Occitanie

1. Accompagnement de la cohorte des porteur.ses de projets ExposUM

L’axe Interfaces accompagne les équipes de projets financés par ExposUM afin de favoriser, si cela est jugé pertinent par les porteur.ses de projet, les processus interdisciplinaires et transdisciplinaires au sein des projets, mais aussi pour favoriser une collaboration entre équipes projets. Cet accompagnement est proposé à toutes les équipes lauréates volontaires. En 2023, cela représente 14 équipes potentielles (7 projets de recherche, 5 nexus doctoraux, 2 fellowships), auxquelles viendront s’ajouter les équipes lauréates des années suivantes.

Différents ateliers sont proposés sur différentes thématiques : atelier d’interconnaissance entre équipes projets et identification de synergie, atelier « sciences-décisions », atelier sur les enjeux de l’interdisciplinarité….

2. Valorisation des initiatives interdisciplinaires ou transdisciplinaires

Appel à Manifestation d’Intérêt

Pour favoriser des collaborations transdisciplinaires et la mise en réseau entre acteur.rices de la recherche et de la société civile, l’axe Interfaces propose un dispositif de soutien destiné aux équipes de recherche de la communauté de l’I-Site de Montpellier menant leurs recherches sur les thématiques liées à l’exposome, à la santé environnementale ou la santé globale et engagées dans des collaborations à l’interface sciences/société.

Cet appel à manifestation d’intérêt « Interactions Sciences/Société » soutient des initiatives de recherche-action renforçant des collaborations entre les membres de l’I-SITE et la société civile (collectivités territoriales, associations et coopératives, collectifs citoyens, les services de l’État tels que l’ARS etc.). Ce soutien est destiné à appuyer et mettre en valeur des initiatives de recherche-actions transdisciplinaire en phase de conception (financement d’actions exploratoires pour permettre un futur projet de recherche-action), en cours (financement de stage, d’enquête, d’événement de diffusion) ou terminées (valorisation de l’initiative).

Les manifestations soutenues comprendront au moins une action de communication pour une mise en valeur de l’initiative transdisciplinaire et un partage d’expérience sur les leviers et les barrières de la transdisciplinarité à l’échelle de l’I-SITE.

Le premier AMI sera diffusé en mars 2024, et sera publié tous les ans au mois de mars.

Appel à incubation de projets territoriaux

En plus de l’AMI, un appel à incubation de projets territoriaux sera publié tous les ans, visant à identifier et à soutenir des projets autour d’enjeux santé-environnement à fort impact territorial.

Les fonds pourront être versés à des structures de l’enseignement supérieur de la recherche mais aussi à des structures associatives. Cet appel servira également à sélectionner un projet ayant un fort potentiel pour des actions d’envergure et pour structurer un réseau transdisciplinaire sur un enjeu de la région d’Occitanie, en synergies avec les Défis Clés (RIVOC notamment), qui pourra être soutenu de manière plus prononcée l’année suivante. Cet appel correspondant à une somme de 5000€/ an.

Cet appel sera publié une première fois en mars 2024 et sera renouvelé tous les ans.

3. Séminaire permanent

L’objectif général du séminaire permanent est de favoriser l’émergence de nouvelles problématiques de recherche à l’interface entre santé et environnement, en donnant des outils pour penser l’interdisciplinarité et pour réfléchir aux liens entre recherche et société. Grâce à des séances proposées mensuellement faisant intervenir des chercheur.es de différents horizons, il s’agit de réunir une communauté de recherche autour de la notion d’exposome et des enjeux santé – environnement et d’amener des réflexions sur la conduite de l’interdisciplinarité et de la transdisciplinarité

Les interventions programmées dans le cadre de ce séminaire contribueront à alimenter les réflexions des participant.es suivant trois orientations principales :

  1. La notion d’Environnement : ces séances interrogeront en particulier l’opposition entre une conception « pathogéniste » d’un environnement réservoir de pathogènes et une conception « salutogéniste » où l’environnement est appréhendé par des fonctions socio-écologiques qui permettent de réguler leur émergence.
  2. Les limites de l’ambition d’intégration : ces séances questionneront les modalités envisagées d’une interdisciplinarité qui intègre les facteurs biologiques, sociaux et environnementaux et les façons de composer avec des cadres épistémologiques et méthodologiques différents
  3. Interaction entre recherches, politiques et acteurs sociaux : ces séances exploreront les impacts potentiels des recherches sur l’exposome auprès des acteurs de la société civile et les possibilités d’inclure leurs demandes et propositions dans une logique de traduction mutuelle entre acteurs non académiques et académiques.

Prochaines séances du séminaire permanent

  • Les enjeux sanitaires et environnementaux face à l’ignorance et l’inaction publique
    Axe du séminaire : « La notion d’Environnement » et « Interaction entre recherches, politiques et acteurs sociaux »
    24 avril de 17h à 18h30
    Salle Kouros, Maison des Sciences de l’Homme (71 rue du Professeur Henri Serre, 34090 Montpellier)
    Lien visio : lien teams
    Intervenant : Emmanuel Henry, politiste et sociologue, professeur à l’Université Paris Dauphine-PSL et chercheur à l’Institut de recherche interdisciplinaire en sciences sociales (IRISSO, CNRS, INRAE)
  • Approches intégratives de la recherche sur les exposomes : Questions épistémologiques et pratiques  
    Axe du séminaire : « Les limites de l’ambition d’intégration » 
    28 mai de 9h à 10h30  
    Salle Kouros, Maison des Sciences de l’Homme (71 rue du Professeur Henri Serre, 34090 Montpellier) 
    Lien visio : lien teams 
    Intervenant·es : Elodie Giroux, philosophe des sciences à l’Université Lyon III, Francesca Merlin, Chercheuse en philosophie de la biologie au CNRS, et Yohan Fayet géographe et chef de projet Recherche Sciences Humaines et Sociales au Centre Léon Bérard de Lyon, co-auteur·rices du livre « Integrative Approaches in Environmental Health and Exposome Research » 

Si vous souhaitez être averti·e des prochaines séances du séminaire permanent, merci de le signaler par email à Mariline Poupaud ou Tiphaine Lefebvre pour être intégré dans notre liste diffusion.

Séances passées du séminaire permanent

Les précédentes séances ont été filmées et sont disponibles en ligne.

  • Interactions entre les connaissances scientifiques et les prises de décisions politiques en santé-envrionnement : L’expérience d’un groupe de travail transdisciplinaire au Brésil  – 22 novembre 2023, en collaboration avec Mak’it.
    Axe du séminaire : « Interaction entre recherches, politiques et acteurs sociaux »
    L’intervenant, Jean Paul Metzger, écologue invité Mak’it, a présenté le centre BiotaSynthesis qu’il dirige. Ce centre implique le secteur académique et des membres du gouvernement autour d’enjeux santé-environnement transdisciplinaire à Sao Paulo au Brésil. Il a souligné l’importance des approches de synthèses en santé-environnement pour favoriser un dialogue entre sciences et politiques et permettre la coconstruction de politiques publiques de prévention.
  • Reconnecter les connaissances scientifiques et citoyennes à propos de la santé environnementale : Le rôle des Instituts écocitoyens pour la connaissance des pollutions – 14 décembre 2023 
    Axe du séminaire : « interaction entre recherches, politiques et acteurs sociaux »
    Cette séance interroge le rôle des Instituts citoyens pour la connaissance des pollutions, tiers-lieu de la recherche, qui reposent sur trois piliers : la production de savoirs territorialisés, le traitement conjoint des atteintes environnementales et sanitaires et la participation. Cette séance a proposé des réflexions sur les moyens de mieux articuler savoirs scientifiques et citoyens, avec les pratiques règlementaires, pour une action publique en matière de santé environnementale plus efficace et précautionneuse.
    Intervenant·es : Philippe Chamaret, chimiste et directeur de l’Institut écocitoyen de Fos, Viviane Thivent, élue de Narbonne et promotrice de l’Institut écocitoyen de l’Aude, Yan Philippe Tastevin, anthropologue au CNRS, porteur de l’Observatoire transdisciplinaire des changement environnementaux de Sébikotane Diamniadio (Sénégal), Sofia Bento, sociologue à l’Université de Lisbonne, responsable d’une recherche participative pour l’Observatoire Hommes Milieux d’Estarreja (Portugal) et Christelle Gramaglia, sociologue à l’UMR-G-EAU de l’INRAE de Montpellier, autrice d’un ouvrage sur les expériences et métrologies citoyennes de la contamination.
  • L’interdisciplinarité entre sciences humaines et sociales et sciences du vivant et de l’environnement : freins et leviers au sein d’une communauté scientifique s’intéressant aux risques infectieux et vecteurs  – 19 décembre 2023, en collaboration avec la Kim Rive et RIVOC – Axe du séminaire : « les limites de l’ambition d’intégration »
    Lors de cette séance, l’intervenant a partagé ses analyses issues d’une enquête sociologique sur les freins et les leviers à l’interdisciplinarité entre sciences humaines et sociales et sciences du vivant et de l’environnement. Pour essayer d’expliquer le peu de collaborations interdisciplinaires effectives mises en place au sein de projets, malgré l’intérêt des acteurs des SVE comme des SHS, l’intervenant revient aux définitions sociologiques des « professions » en l’appliquant à la profession scientifique. Cette présentation ne donne pas de réponse clé en main pour mener des recherches interdisciplinaires, mais éclaire des freins qu’il sera opportun de discuter au sein de tout projets menés en collaboration.
    Intervenant : Jérémy Rollin, chercheur en sociologie-politique à la faculté de médecine de l’Université de Montpellier.
  • La Plateforme Portuaire de Surveillance Environnementale de Cotonou, Bénin : une initiative mutli-acteur·rices pour la gestion des invasions biologiques liés au trafic maritime international. Un exemple concret d’opérationnalisation de la recherche à l’interface science/société – 8 février 2024
    Axe du séminaire : « interaction entre recherches, politiques et acteurs sociaux »
    Lors de cette séance, les intervenant.es ont partagé leurs expériences autour de la création de La Plateforme Portuaire de Surveillance Environnementale Dans le Port Autonome de Cotonou au Bénin, officiellement inaugurée à la fin de l’année 2021. Cette Plateforme constitue le premier laboratoire dédié à la surveillance et l’appui à la gestion des espèces envahissantes, notamment de rongeurs porteurs de vecteurs et agents pathogènes, à voir le jour au sein d’un port africain. Sa mise en oeuvre est le fruit de nombreuses interactions entre partenaires académiques et non-académiques et constitue un exemple emblématique de l’opérationnalisation possible de la recherche scientifique au service d’enjeux de société. 
    Intervenants : Gauthier DOBIGNY et Tasnime ADAMJY, UMR CBGP (IRD), chercheurs en écologie-évolution.
  • Les polluants éternels : entre recherche et mise en place de politiques publiques de prévention
    Axe du séminaire : « Interaction entre recherches, politiques et acteurs sociaux »
    26 Mars de 15h à 16h30, en collaboration avec Mak’it
    Intervenant : Patrick Allard, invité Mak’it, Professeur à l’Institut pour la société et la génétique de l’Université de Californie à Los Angeles (UCLA), chercheur en génétique, épigénétique, biologie du développement et santé environnementale.

4. Actions territoriales et mise en réseaux

Politiques et acteurs publics

L’équipe de l’axe Interfaces inscrit ses actions dans des approches territoriales, en accompagnant de nouvelles collaborations entre acteurs publics et académique. L’équipe Interfaces participe au groupe de travail lancé par la Métropole de Montpellier « écologie de la santé ». Des échanges réguliers ont lieu avec des élus de la métropole impliqués dans ce groupe. L’axe Interfaces a été présenté dans le cadre de la journée inaugurale du Plan régional Santé-Environnement 4 (ARS et DREAL) pour discuter des relations à établir entre l’incubation de projets transdisciplinaires au niveau de l’axe et les missions du PRSE4 et assurer une synergie de nos actions.

Soutien de deux initiatives territoriales pour l’année 2024

L’initiative Gotick autour de la prévention contre les maladies transmises par les tiques

L’équipe Interfaces a préparé, accueilli et animé cinq ateliers de 3h réunissant des chercheur.es en écologie des tiques (Vectopôle Sud), des chercheures en sciences humaines et sociales (sciences de l’éducation, psychologie sociale), des personnes de l’ARS (lutte antivectorielle), des associations (CTIQUE, Graine Occitanie), et un représentant d’éleveurs (directeur du Groupement de Défense Sanitaire Occitanie). Ce projet pilote est construit en lien avec les ambitions du Plan-régional Santé-Environnement 4 de l’Occitanie.

Cette incubation a mené à un projet exploratoire et un plan d’actions pour 2024, porté par l’association d’éducation environnementale Le Graine, en lien avec PRSE4. Ce projet propose de construire et mettre en œuvre des actions éducatives visant à renforcer l’implication des citoyens sur les enjeux du risque « Tiques » de leur territoire de vie et, également, de tester une ou plusieurs questions de recherche scientifique dans le domaine des sciences de l’Éducation. Il s’agit de susciter un engagement croissant des citoyens, tout en mesurant et évaluant scientifiquement l’impact de la sensibilisation des publics sur leurs changements de comportement par le biais d’un protocole de recherche dédié. Le déploiement de ce projet s’appuiera sur un Groupe de Travail (GT), réunissant un panel de compétences et d’expertises, en charge de déployer les actions dans les territoires autour d’un public et d’un site donné : préparer la mobilisation citoyenne, mobiliser par l’action, renforcer l’engagement, maintenir l’engagement. Le projet sera présenté au COSS d’ExposUM en janvier 2024 pour validation du financement.

L’initiative autour des instituts citoyens pour la connaissance des pollutions

Depuis les années 2010, l’Institut écocitoyen pour la connaissance des pollutions de Fos sur mer, réunit des universitaires et des riverains qui œuvrent de concert pour développer des recherches répondant aux questions sur les conséquences à long terme d’une industrialisation à marche forcée enclenchée à la fin des années 1960 et régulièrement relancée. Ce tiers-lieu de la recherche repose sur trois piliers : la production de savoirs territorialisés, le traitement conjoint des atteintes environnementales et sanitaires et la participation. Cet Institut suscite de l’intérêt et a inspiré plusieurs autres démarches comme à Sébikotane au Sénégal, à Esterej au Portugal ou dans l’Aude ou un institut est en cours de montage. Ces instituts promeuvent l’hybridation des savoirs, notamment en matière de santé environnementale, et constituent des expériences territoriales susceptibles de favoriser la mise en place de mesures de prévention en santé-environnement, dans le cadre d’une transformation des dynamiques territoriales. L’équipe Interfaces propose d’appuyer la mise en réseau de ces différents Instituts dans le cadre d’une action pilote qui sera soumise, pour validation du financement, au COSS ExposUM de janvier 2024.

Avec l’appui de Christelle Gramaglia (G-EAU, INRAe), sociologue ayant accompagné l’émergence de l’Institut de Fos sur mer, l’équipe Interfaces a réuni en visioconférence des membres des instituts de l’Aude, du Portugal et du Sénégal. Cela a débouché sur une séance de séminaire le 14 décembre avec l’ensemble de ces intervenants et sur un atelier de travail de 3 heures ce même jour pour définir les contours de l’action pilote proposée en 2024.


  1. Aurélie Binot, accueillie à la MSH SUD en tant que directrice adjointe, est responsable de l’animation de l’axe 2 « Interfaces Sciences Société » de l’Institut ExposUM et membre du CODIR ExposUM ; elle est désignée pour ces missions en sa qualité de chercheuse CIRAD reconnue dans ce domaine. Dans le cadre de cet axe 2, l’UM peut s’appuyer sur les dispositifs de recherche-action de la MSH SUD et sur les personnels qui y sont affectés, cette UAR pouvant alors se prévaloir de la mise en œuvre d’actions pour le compte de l’Institut ExposUM. ↩︎

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