Un réseau au service du verdissement de l’UM
Le 14 octobre dernier se tenait la réunion de lancement du réseau des correspondants transition écologique. Conçu pour être instigateur de changement, il rassemble des individus passionnés et engagés autour d’un objectif commun : renforcer l’engagement et les pratiques de l’UM en matière de durabilité et d’innovation pour la transition écologique. L’Université espère ainsi améliorer ses pratiques internes et encourager d’autres établissements de l’enseignement supérieur à suivre cette voie.
C’est une étape clé franchie par l’Université de Montpellier dans le déploiement du schéma directeur de transition écologique (SDTE) : le réseau des correspondants transition écologique s’est réunie pour la première ce 14 octobre en présence de Philippe Augé, président de l’UM et de Frédérique Carcaillet, vice-présidente déléguée aux enjeux environnementaux. Les correspondants ont pu assister à la présentation du SDTE de l’Université ainsi qu’à celle des objectifs du réseau et du calendrier.
Une envie d’agir
Ils sont enseignants, enseignants-chercheurs, chercheurs ou personnels des bibliothèques, ingénieurs, administratifs, techniques et sociaux et de santé (BIATSS) et ont en commun une appétence pour les questions de transition écologique et une envie d’agir. Véritables ambassadeurs de la transition écologique, ces correspondants sont chargés de sensibiliser la communauté aux enjeux environnementaux.
Dans cette optique, la présentation des missions du réseau a permis de clarifier les rôles et responsabilités des correspondants, soulignant l’importance de leur engagement. Le planning détaillé des prochaines étapes a également été dévoilé, incluant les différents comités et réunions auxquels le réseau participera. Un temps d’échange a permis aux correspondants de poser des questions, d’être force de proposition avec par exemple la création d’une plateforme d’échange entre correspondants des structures de recherche pour faciliter la coopération des laboratoires.
Objectifs du réseau
La mise en place de ce réseau de correspondants répond à différents besoins et défis auxquels l’Université fait face en raison de sa taille. Avec plus de 5000 personnels et 50 000 étudiants répartis sur plus de 17 sites et 73 structures de recherche, il est parfois complexe d’assurer un suivi exhaustif des différents projets déployés en matière de transition écologique et d’application du SDTE. Cette force opérationnelle va donc pouvoir distiller la culture de la transition écologique au plus près du terrain et fédérer la communauté autour d’objectifs et d’initiatives visant à renforcer le verdissement de l’Université.
En outre, ce réseau créera des synergies entre les différentes structures, facilitant ainsi la mise en œuvre de la politique de transition écologique de l’UM. Ce réseau est également un relais important en termes de circulation de l’information entre les différentes structures et le bureau développement durable au sein de la direction de pilotage. Plus l’information circulera, plus l’UM sera capable de réagir, d’améliorer, d’adapter, de déployer et de renforcer la mise en œuvre du SDTE. Grâce à leur engagement, les correspondants contribuent à amplifier la culture de la durabilité au sein de l’Université, encourageant ainsi une prise de conscience collective et une action concertée pour une transition écologique réussie.