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Droguier Deuxième droguier de France après celui de Paris, le droguier de la Faculté de pharmacie de Montpellier possède une collection unique d’environ 15000 échantillons de drogues. Préservées dans leurs bocaux d’origines, l’ensemble de ces préparations médicamenteuses est inscrit au titre des Monuments Historiques. En savoir + Conservatoire d’anatomie Le musée d’anatomie est riche d’une collection de préparations anatomiques déposées par les professeurs et les étudiants et de collections complémentaires comme les moulages en cire ou encore les instruments de chirurgies. Il compte plus de 5 000 pièces dont une grande partie est classée au titre des Monuments Historiques. En savoir + Musée Atger Le plus ancien musée de Montpellier, le musée Atger abrite une collection exceptionnelle de dessins et d’estampes du XVIIe et XVIIIe siècle. Faisant se côtoyer petits et grands maîtres des écoles française, italienne et flamande, ce musée permet aux étudiants en médecine de s’ouvrir à l’art et de s’initier aux techniques de dessin. En savoir + Musée de la pharmacie Albert Ciurana Le Musée Albert Ciurana retrace les avancées des sciences pharmaceutiques au cours des siècles, liant théorie et pratique. Il accueille les objets, livres, meubles, bustes, peintures à l’huile et machines provenant de dons qui intéressent l’art pharmaceutique. En savoir + Salle des anciens musées Delmas-Orfila-Rouvière Les collections des anciens musées anatomiques Delmas-Orfila-Rouvière représentent plus de 13 000 pièces d’anatomie réelles ou artificielles, classées au titre des Monuments Historiques. Autrefois situés dans les locaux de la Faculté de médecine de Paris, elles sont désormais réunies à l’Université de Montpellier. En savoir +

Jardin des plantes

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On vient y flâner à l’ombre de la bambouseraie ou par les allées ombragées du jardin anglais, admirer la serre Martins et ses plantes « succulentes » ou rêver sur les bords du bassin aux lotus sur les pas d’André Gide ou de Paul Valéry. Fondé en 1593 par Henri IV, le plus ancien jardin botanique de France s’étend sur près de 5 hectares au cœur de Montpellier. Rattaché à la Faculté de médecine, cet espace autrefois entièrement dédié à la recherche et à l’enseignement continue d’attirer les chercheurs du monde entier. Le Jardin des Plantes de Montpellier est classé au titre des sites (12 février 1982) et protégé au titre des Monuments Historiques depuis le 3 septembre 1992. Plaquette du jardin des plantes de MontpellierTélécharger Visites libres Les visites libres ne sont possibles que pendant les heures d’ouverture au public (voir ci-dessus). Pour les groupes déjà constitués (scolaires, associations, organismes publics…), vous devez remplir le formulaire de visite libre Formulaire visites libresTélécharger Visites guidées Le personnel du Jardin des plantes de Montpellier vous propose des visites thématiques du lundi au vendredi, hors jours fériés, le matin entre 8h30 et 12h, l’après-midi entre 13h30 et 16h30. Toutes les visites proposées sont gratuites et sans inscription. Rendez-vous prévoir 10mn à l’avance, à l’entrée du Jardin, Boulevard Henri IV. Un guide prendra contact avec vous pour finaliser votre visite. Visiter le jardin Location du Jardin / Tournage... Pour toutes demandes particulières (photos privées ou professionnelles, tournage, manifestations…), merci de bien vouloir prendre contact avec le secrétariat, par mail, au minimum 3 mois avant la date de venue souhaitée, afin de traiter la partie administrative (autorisation, organisation et convention). De plus, depuis janvier 2014, une tarification a été mise en place pour toute location du Jardin. Le Jardin des Plantes hier et aujourd’hui C’est dans une volonté de développer « la santé par les plantes » qu’Henri IV confie en 1593 à Pierre Richer de Belleval, enseignant en botanique et anatomie, la création d’un Jardin Royal. Inspiré du « jardin médical » de Padoue, la référence italienne des jardins, le Jardin des Plantes de Montpellier devient à son tour un modèle pour celui de Paris. Lors de sa création, le jardin était destiné à la culture des « simples ». Pourtant le projet de Richer dépasse rapidement les seules plantes médicinales et devient un véritable outil d’étude botanique, inédit à l’époque. Au début du XVIIe siècle, le Jardin des Plantes de Montpellier est non seulement un jardin scientifique, avec son importante collection de végétaux mais est aussi considéré comme un jardin précurseur dans sa manière d’appréhender la diversité du monde végétal. Pour favoriser cette diversité, il reproduit différents milieux (ombragé, ensoleillé, humide, sablonneux, pierreux…) et consacre des emplacements spéciaux aux plantes exotiques. 1er Jardin (vers 1602) La « Montagne de Richer » est la partie la plus ancienne du Jardin. Elle a servi de modèle à des sites semblables dans plusieurs jardins européens. Formée d’un tertre avec cinq terrasses sur chaque versant, elle présentait essentiellement la flore locale. Le « jardin médical » se trouvait jadis à l’emplacement de l’allée des cyprès actuelle, dite « allée toscane ». Malheureusement, ce premier jardin fut entièrement ruiné lors du siège de Montpellier par Louis XIII en 1622. Aujourd’hui il n’en reste que la « Montagne ». 2e Jardin (1622 – 1810) A partir de 1622, Richer de Belleval recommence son travail et agrandit le jardin en achetant des terrains au voisinage. Plus tard, ces espaces servent de jardin d’essai à Pierre Magnol, démonstrateur des plantes, puis intendant suppléant de 1694 à 1697. L’école de systématique s’installe sur ce site en 1707 avec son élève Joseph Pitton de Tournefort. OLYMPUS DIGITAL CAMERA En 1756, la première serre chauffée est édifiée au Jardin des Plantes. A la fin du XVIIIe siècle, Antoine Gouän, directeur du jardin, transporte une marcotte de son ginkgo qui devient le symbole de l’École de Santé, renaissante après la Révolution. Élevée entre 1802 et inaugurée 1806, une belle orangerie est construite par le célèbre architecte Claude-Mathieu de la Gardette. Au XIXe siècle, deux serres s’ajoutent aux équipements du Jardin. 3e jardin (1810 – 1860) Dans le courant du XIXe siècle, le jardin historique s’agrandit à deux reprises, faisant plus que doubler de surface. Avec ces nouveaux espaces, la création du jardin anglais est possible en 1860. Le directeur de l’époque, Charles Martins, y fait ériger une serre tempérée et creuser un bassin pour les lotus dit « lac aux Nélumbos ». Au-delà de ce bassin, se trouve un pavillon d’astronomie prénommé « marabout algérien ». Ce petit observatoire n’a jamais été utilisé en tant que tel, mais uniquement à des études spectroscopiques. Le Jardin des Plantes aujourd’hui Le Jardin des Plantes a aujourd’hui une superficie de 4.5 ha avec une surface sous serre de 688 m2 et une orangerie de 267 m2. Le jardin totalise 2 679 espèces. Le Jardin des Plantes de Montpellier a une triple vocation : Jardin botanique Le jardin botanique se distingue d’un jardin classique par ses collections, son exposition de plantes vivantes et les graines bien identifiées, rares ou courantes. Le programme d’action d’un tel jardin s’intègre dans le plan du Consortium des Jardins Botaniques européens (BGCI/IABG). Destiné à la recherche scientifique, le jardin s’affiche comme un centre d’études taxonomiques et horticole ouvert à la coopération internationale. Pour protéger au mieux l’héritage scientifique du Jardin des Plantes, ses personnels mettent en place des actions d’enrichissement et de sauvegarde des collections animées (plantes) et inanimées (ouvrages, documents écrits, iconographie, herbier). Jardin historique Avec plus de 4 siècles d’histoire, le Jardin est protégé aujourd’hui au titre des Sites et des Monuments historiques. Dans ce cadre, la protection et la valorisation des immeubles prend une place importante dans la vie du Jardin. La conservation du patrimoine passe par l’entretien et la restauration mais aussi par une réglementation stricte des visites publiques. Jardin universitaire Dès sa création en 1596, le Jardin des Plantes a un lien étroit avec l’Université en raison de sa spécialisation dans le domaine des plantes médicinales. Voué à l’enseignement supérieur, le Jardin accueille régulièrement des étudiants pour la réalisation de leurs thèses et mémoires.Dans le souci d’apporter les savoirs scientifiques au grand public, les personnels du Jardin des Plantes développent des actions pédagogiques vers différentes catégories de population. Les collections du Jardin des Plantes L’école de systématique de Candolle L’école de systématique est un site-école où les plantes sont regroupées par familles botaniques. 250 espèces sont situées dans un endroit protégé en raison de leur fragilité. Incapable de supporter des fréquentations excessives, l’école de systématique de Candolle est ouverte exclusivement lors de visites de groupes programmées. La collection de cistes Les cistes sont des plantes méditerranéennes de garrigue qui sont connues pour leur résistance à des situations arides. Au Jardin des Plantes de Montpellier, une dizaine d’espèces et leurs hybrides, nés des croisements entre espèces proches, sont installés sur le versant Sud de la Montagne de Richer. Remarquables par leur floraison, les cistes décorent le Jardin des Plantes avec de grandes fleurs blanches ou jaunes à partir du mois d’avril. Les plantes médicinales La collection des plantes médicinales est en cours de réalisation. Ce projet consiste à réunir les principales plantes médicinales françaises reconnues, en appui à l’enseignement prodigué en faculté de pharmacie. Les 164 espèces prévues occuperont « le carré des médicinales » de l’école de systématique. Elles ne seront accessibles au public qu’à l’occasion de visites guidées. Les arbres Le Jardin des Plantes de Montpellier abrite plus de 170 arbres surtout regroupés dans l’arboretum du XIXe siècle. Les arbres constituent une collection remarquable par l’âge et la taille de certains sujets, comme le pacanier, le Ginkgo, l’oranger des Osages ou le Phyllaire de la Montagne. L’intérêt de certains arbres, comme le cyprès de l’Atlas, le chêne faux kermès ou le genévrier alligator  réside moins dans leur taille que dans leur grande rareté en collection et leur intérêt botanique. Les plantes succulentes Les plantes succulentes sont des plantes grasses, dont les plus populaires restent les cactus. La collection du Jardin des Plantes de Montpellier compte 400 espèces et a été constituée à partir de 2011, de dons venant de collectionneurs et de jardins botaniques. Les plantes succulentes sont connues non seulement pour leur résistance au climat aride mais aussi pour leurs floraisons éblouissantes. Chez certaines espèces de cactus, les fleurs sont bien plus grosses que la plante qui les porte. Les palmiers Jusqu’au début des années 2000, les palmiers occupaient une place visible au Jardin des Plantes. Notamment, deux beaux alignements de palmiers à chanvre de Chine limitaient l’un le jardin anglais, l’autre l’École de Systématique. En 2006, ils ont été victimes du papillon argentin dont la chenille se nourrit exclusivement du cœur des palmiers, conduisant à la mort des sujets. Depuis cet épisode, l’effectif des palmiers a baissé et ne constitue aujourd’hui que 36 espèces, visibles dans tous les secteurs du Jardin des Plantes. Les plantes naturalisées Réfugiées dans différents endroits du Jardin des Plantes, les 9 espèces de plantes dites naturalisées proviennent des quatre coins du monde (Modiole de Caroline, Micromérie grecque, Muflier de Sicile, etc.). La plus remarquable des plantes naturalisées est la consoude d’Orient, originaire de Turquie. Naturalisée depuis 1930, elle est la plante dominante du sous-bois au printemps, avec ses fleurs blanches abondantes. Depuis, elle s’est étendue à d’autres espaces verts de Montpellier. La faune entomologique Le Jardin des Plantes héberge une importante variété d’insectes qui ont une importance primordiale pour le transport du pollen de fleur à fleur. À ces insectes pollinisateurs s’ajoutent de nombreux ennemis des plantes cultivées, les insectes ravageurs. Parmi les insectes les plus impressionnants figurent l’abeille charpentière, au corps violet massif. Elle n’hésite pas à perforer à la base les fleurs dont elle convoite le nectar. Pacifique, elle aime « faire connaissance » par un survol du visage de la personne qui l’observe. En août, l’abeille charpentière passe du violet au jaune tant elle est saupoudrée du pollen des fleurs visitées. L’Index Seminum Le Jardin des Plantes de Montpellier s’inscrit dans un réseau d’échanges de graines avec 500 autres institutions botaniques en France et dans 80 pays étrangers. Des semences sont récoltées régulièrement dans le jardin, ainsi que dans la nature, aux alentours de Montpellier. L’Index Seminum est un catalogue de ces semences, publié tous les 2 ans, et exclusivement réservé aux autres jardins botaniques. Téléchargez l’index seminumTélécharger

Patrimoine

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Belle médiévale Ville scientifique et universitaire depuis le Moyen-Âge, Montpellier a toujours entretenu avec son université des liens féconds. Héritière de la Faculté de médecine créée en 1220, l’Université de Montpellier a été l’une des premières à paraître en Occident. Au fil des siècles, elle a marqué la ville de son empreinte. L’UM conserve aujourd’hui un patrimoine historique prestigieux tant sur le plan immobilier que mobilier, ainsi que des ensembles scientifiques, artistiques et documentaires d’une valeur inestimable. Au fil des temps elle n’a cessé d’enrichir ses collections, dont une grande partie est classée au titre des monuments historiques. https://www.youtube.com/watch?v=yVkCfqMEXJ8 Chiffres : 1220 Naissance de la première Université de Montpellier – 6000 Dessins anciens et estampes - 4.5 Hectares au cœur de la ville Histoire Enracinée dans l’histoire de sa ville et de sa région, l’Université de Montpellier est l’une des plus anciennes universités en exercice d’Europe. Moyen Âge Apparu vers l’an 980, Montpellier est d’emblée un lieu de rencontres et d’échanges entre les cultures chrétienne, juive et musulmane. La vocation universitaire de la ville s’affirme dans le domaine médical avec l’autorisation en 1180 d’exercer et d’enseigner la médecine. Et un siècle plus tard, l’enseignement de médecine est reconnu par l’Église, ce qui fait de Montpellier la plus ancienne École de Médecine en exercice du monde occidental. A la même époque, les juristes commencent à se rassembler à Montpellier autour de professeurs renommés comme Placentin de Bologne. En 1289, l’Université de Montpellier est créée officiellement par la bulle Quia sapientia du pape Nicolas IV. Portant le nom d’un Studium generale, elle regroupe à l’époque les enseignements en médecine, droit, lettres et théologie. L’Université de Montpellier est créée par et pour ses maîtres et élèves et possède une grande autonomie dans son fonctionnement. Une de ses caractéristiques profondes est la prépondérance de la médecine et, de plus en plus, du droit. Renaissance Au XVIe siècle, la ville de Montpellier devient un centre intellectuel de haut niveau et affirme sa position de carrefour européen du droit et de la médecine. Elle attire, à cette époque, de nombreux érudits et scientifiques partageant les valeurs humanistes, parmi lesquelles François Rabelais, Guillaume Rondelet ou encore Pierre Richer de Belleval. Les universités se développent de plus en plus en France et font concurrence à celle de Montpellier. Pour faire face à ses rivales, l’Université de Montpellier se voit octroyer des spécificités originales : anatomie, botanique, biologie, etc. Proche de la médecine, l’étude des plantes médicinales se répand de plus en plus à Montpellier avec la création du Jardin des plantes, en 1593. La ville sera considérée comme la capitale de la botanique jusqu’au XVIIIe siècle. Révolution Comme toutes les universités françaises, celle de Montpellier est abolie pendant la Révolution. Cela n’empêche pas les professeurs de médecine d’enseigner dans une semi-clandestinité. Mais la nécessité des enseignements structurés apparaît en frimaire an III (décembre 1794). La Convention fonde alors trois Écoles de Santé, à Paris, Strasbourg et Montpellier. C’est à ce moment-là, que l’École de Médecine s’installe dans les locaux de l’ancien évêché où elle se trouve toujours. En 1803, l’apparition de l’École de Pharmacie complète l’enseignement scientifique à Montpellier. Quant à la Faculté de Droit, elle sera oubliée en 1808 et ne sera fondée qu’en 1878. XIXe siècle Le paysage scientifique de Montpellier change au début du XIXe siècle avec la création de la Faculté des Sciences en 1809. Elle est dotée à l’époque de sept chaires magistrales : mathématiques transcendantes, astronomie, physique, chimie, zoologie, botanique et minéralogie. La fin du XIXe siècle est marquée par l’unification de toutes les facultés de la ville au sein d’une seule et unique université, installée dans le palais universitaire, actuel rectorat. XXe siècle Les établissements montpelliérains poursuivent leur développement tout au long du XXe siècle, s’associant pleinement à l’explosion scientifique qui marque cette époque, tissant un dense réseau de structures d’enseignement et de recherche. La Loi Faure (12 novembre 1968) donne naissance à trois nouvelles universités : l’université Montpellier I, l’université Montpellier II, l’université Montpellier III Paul Valéry. Les facultés (droit, lettres, médecine, sciences, pharmacie) cessent d’exister et deviennent soit des UER (puis UFR) pour médecine, droit et pharmacie (UM1), soit des universités de plein exercice pour les lettres (UM3) et les sciences (UM2). XXIe siècle Une nouvelle page de l’histoire commune des Universités Montpellier 1 et Montpellier 2 s’ouvre avec le lancement du processus de fusion en septembre 2012. A la recherche de rayonnement national et international, les deux universités réunissent leurs forces complémentaires et l’Université de Montpellier voit le jour le 1er janvier 2015. Avec 17 composantes de formation, 73 unités de recherche et plus de 48 000 étudiants, elle devient la plus grande université du Languedoc-Roussillon et la 6e de France.

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